LA FERTE BERNARD
Désobéissant aux modes, aux courants et aux marchés, Lucas Grandin peint une peinture narrative, envisagée comme un voyage intérieur teinté d'optimiste. Un langage silencieux qui se faufile dans une jungle faussement festive, une traversé nord sud mêlant constat post colonisation, critique d'une quête consumériste et de la glorification des apparences, avec pour fil conducteur le macabo, plainte chérie par l'artiste, très peu considérée mais portant consommée quotidiennement dans les régions d'Afrique dans lesquelles il intervient.